L’hypertrophie mammaire est une maladie ou une anomalie non pathologique, mais peut avoir une influence sur la psychologie et la physique féminine. Cette anomalie peut manifester de manière unilatérale ou bilatérale et peut se présenter en macromastie ou gigantomastie. Historiquement, celle-ci a été connue pour la première depuis les années 1968.
Les différents types de l'hypertrophie mammaire
En premier lieu, la macromastie désigne l’accroissement excessif du tissu mammaire inférieur à 2,5 kg. En second lieu, la gigantomastie consiste en un accroissement excessif du tissu mammaire supérieur à 2,5 kg. En troisième lieu, l’hypertrophie virginale ou pubertaire présente différents symptômes tels que la taille des seins en excès, des lésions rouges, des démangeaisons, des douleurs de seins, l’hypertrophie du clitoris. Celui-ci se développe de manière spectaculaire, rapide et constante après ses premières périodes de menstruation. En quatrième lieu, l’hypertrophie gravide ou gestationnelle apparaît au début de la grossesse ou entre la 16e ou la 20e semaine de la gestation. Celle-ci peut nuire à la croissance du lait maternel, génère de la chaleur intense, des démangeaisons, des fébrilités, de l’inconfort extraordinaire, des rougeurs…
En dernier lieu, vous pouvez également trouver la maladie idiopathique, les médicaments à base de la bucillamine ou la ciclosporine, voire de la penicillamine, les maladies auto-immunes, les syndromes et les tumeurs. Les tumeurs sont une masse résultant du néoplasie ou accroissement excessif et excessif de tissu. Les cellules vont donc subir de la métaplasie ou de la dysplasie. La maladie idiopathique est celle sur laquelle la cause et le mécanisme sont inconnus et spontanés. Les maladies auto-immunes peuvent générer des lésions tissulaires et peuvent être traitées par des stéroïdes.
Différences entre l’hypertrophie mammaire et l’hypotrophie mammaire
L’hypotrophie mammaire est une diminution accrue du volume de la poitrine par rapport à la normale. Celle-ci peut se présenter en hypoplasie mammaire (ou hypotrophie modérée) ou en agénésie (ou aplasie mammaire). Elle ne produit pas de gêne physique, mais occasionne des complexes, une atteinte à l’identité sexuelle féminine. Ce qui produit un problème de la confiance en soi, un handicap physique et psychologique, un défaut d’allaitement.
En revanche, l’hypertrophie mammaire se caractérise par un accroissement excessif de la poitrine par rapport à l’anatomie de la femme. Par conséquent, la patiente va subir des douleurs aux épaules, des douleurs au cou, des douleurs lombaires, des gênes lors de la pratique des exercices physiques, etc.
Les causes de l’hypertrophie mammaire
L’hypertrophie mammaire résulte d’une sensibilité histologique progressive de certaines hormones (œstrogène, progestérone, prolactine, etc.). Ensuite, celle-ci est due à des facteurs de croissance des seins tels que la croissance hépatique, l’insuline comme facteur de croissance de l’épiderme, etc. Puis, elle peut également être à l’ origine des facteurs incluant des niveaux accrus. Aussi, les seins macrosmatiques forment des tissus adipeux et fibreux et sont dus au syndrome d’aromatase excessif, d’hyperprolactinémie, de l’hypercalcémie, au lupus érythémateux dissipé, voire à une hyperplasie stromale pseudomangiomateuse. De plus, cette anomalie est à l’origine de la grossesse…
Par conséquent, les femmes atteintes de cette anomalie deviennent obèses et sont sujettes de la détresse psychologique, d’un malaise physique, des malformations mammaires, etc.